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TohX is still Alive (Don't you care)
28 novembre 2006

Cher declic, Tres cher déclic, Trop cher declic…

Peut etre plus tard je corrigerais l'orthographe et la grammaire... peut etre pas...
Mais je cherie plus le fais que le polie...

   Jean baptiste cohen se réveil… ou plutot essaie de s’accrocher a cette nouvelle réalité, passer le pas, enclencher l’interrupteur, provoquer le déclic …
Comme toujours, il a du mal, il n’est pas encore celui qu’il sera tout a l’heure, celui qui aurai voulu se lever tôt, être actif… avoir le gout de faire… mais non il ne reflechit pas encore de cette maniere, selon cette non logique,  il est scotche dans la douceur d’une autre realite… entierement absorbe dans le sentiment de plenitude du repos de l’esprit et du corps. Entièrement beat… détache de toute responsabilité concrète… libre dans l’absence… la grenouille dans l’apesanteur liquide…

Mais voilà que me tombe dessus l’autre realite, : celle partage par les autres…(d’un comun accord entre nous)  avec mon role a jouer, puis viens d’un coup mes necessitees et but , mon personnage s’invite et s’impose, et me voilà avec mes doutes et desirs, me voilà avec mes obligation et devoirs… Je vais assumer et faire ce que je me suis impose… mais avec plaisir.. a la recherche de ma carotte, celle que j’ai moi même posée… 

Alors je suis fébrile, d’esprit et de corps, en fait non je sais qu’aujourd’hui je ne pourrais pas assurer mon role social… j’ai tout donne hier, je suis vide… j’ai ete conscient, trop peut etre, et j’ai essayer de l’expliquer de le partager, la dope a fait son effet, socialbilite, liberatrice… m’a fait m’epencher, me poser ses questions en utilisant l’autre… me poser face au miroirs, la meditation, non, la confrontation pour crystalliser ce que je ne peut pas faire seul… La dope comme outil de reflexion… merde un jour je pourrai mediter, ou tout simplement analyser les faits seul, comprendre pour demontrer sans moyens… etre suffisement fort pour regarder la palle du ventilateur, seule,  en arretant le mouvement…
Immobiliser le mouvement et voir…
   Mais voilà aujourd’hui je suis dans ces landemain down… peut etre plus lucide que high…  trop… je ne  pourrai pas sortir et ne culpabiliserais pas… car aujourd’hui je suis trop lucide, je vois les animaux humain, je vois mon corps comme un habit inchangeable, comme une vrai dependance a cette chaire, la grenouille hors de l’eau… mais trop febrile pour affronter, hier j’ai gagne, ce matin, je ne veux meme pas me battre, l’expliquer, le dissequer… je le suis point… je ne fais qu’assumer, et fuir… un livre… un film…. De l’entertainment… faire courir le temps… car il n’ai pas affrontable… trop present… gluant… un marais existantiel…
    Il n’y a pas de high sans down… tout est verite, instantane et inatrapable, car nouveau exotique, le declic, le changement d’etat,, la dope est la, tout est la dans l’interupteur enclencheur, dans le danger et la perdition de ce nouveau monde , destabilse, en etat d’insecurite, danc vrai sans repere… mais voilà cela ne dure pas… et je cours apres ce high premier… mais il n’ai plus attrapable… mais par contre je me creuse mon fosse de down…

   Hier, malgres tout me reviennent des images… mais plates, videes de la seve qu’elle avaient, sans la verite que je voyais… un jugement realiste, trop, qui ne   peut comprendre, mais seulement voir de cette autre realite, beacoup plus froide, plus concrete, d’autre incapable de saisir le sens… mais voit la forme… je me juge durement… je ne vois que ce personnage, distant, si different,, souvent ridicule dans sa verite pure, je vois l’animale, le reptilien, mais je le regarde et le remet dans le contexte sociale… la realite partage… juge par les yeux de la societe…

Mais voilà je vis a Tamagringo, Nowhere, Now here, dans un pueblo de personnages,  la ou les gens on choisit de vivre… la ou les locaux ne son plus… ou les backgroud son pesados… comme beaucoup il y a ici des chanceux malheureux, maleureux du doute… ici une reponse ou une acceptation de ne plus chercher… L’interzone… ou tout dois etre possible, la ou il n’y a des barrières que la ou se les posent… un endroit de désirs, la ou l’on peut les réaliser, donc ou on les laisse de cotes, les oublies, ne plus les laisser vous dominer, car il sont réalisable donc plus aussi désirable, et aussi être vacciner de voir ses gens de passage… si avides de prendre ce qu’il sont venu se payer et devoir en être heureux… rentabiliser ce bonheur et le faire fructifier pendant les 50 semaines de cubicle, essayer de se fabrique le même moment de rêve acheter sur catalogue et déjà consommer avant de le vivre,, ils arrivent et se doivent de présenter des photos illustrant le voyage déjà paye… les cliches obliges, la preuve de l’exploit accomplit ou plus souvent du contrat remplit…. se fabriquer des souvenirs, qui seront forcément plus beau (et durera plus longtemps) que le moment…

Une Tamarindo Night, une nuit partout et nulle part, une expérience cent fois renouvelée de liberté, d’annulation d’obligation… une ZAT mentale une zone d’autonomie temporaire de  l‘esprit, un état d’esprit  qui n’est que passager, qui ne peut que l’être pour pas que se noie la grenouille…  mais en espérant qu’une empreinte restera dans le batracien… une utilité pour justifier…

Mais voilà rattrape par la réalité, celle du jour… cet autre monde… plus contraignant… L’heure ou les mort-vivant laisse la place au seulement vivant… heureux les seulement vivants, surtout dans leur contrainte crée pour pouvoir les dépasse… triste les mort-vivant vivant avec toute la force donner par la conscience de leur mort… Tristes mais fier … mais sur la berge il faut chasser son déjeuner, se dorer au soleil, sécher pour pouvoir aprecier le prochain (et nécessaire) passage a l’eau… la prochaine, attendu, immersion… déclic…
Cher declic
Tres cher déclic
Trop cher declic…
Comme la psychanalyse le prix doit etre la …  il matérialise, concrétise, ancre dans la réalité (la partage, subjectivité de masse), lui donne une valeur, la rend meritable, rechercher et appréciee….

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  • ...Battements d'un expat apatride... Photos et mots pour preuve que ca pulse encore un peu par la dedans... le probleme c'est l'irregularite de ces battements ... C'est aussi de temps en Temps : "Journal d'un alcoolisme bancal-banal"
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