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TohX is still Alive (Don't you care)

12 janvier 2007

L'art interroge, interpelle,

fait vibrer le moi, le basculant dans l'insecurite, l'art propose, l'artisanat (je prefere dire l'entertainment) ou le divertissement (le divertit se ment...) est une reponse une pommade, la repetitions de quelque chose de connu d'accepte et d'apprecier, c'est en cela que Hollywood, star academy, pop stuff... est un produit... car il est crer avec un but, avec une cible, sachant qui et comment il va faire reagir les gens... il a ete dur, comme une prise de conscience d'une realite qu'il y a des genres, respectant des regles... des schemas, je pensait (alors adolescent) que chaque oeuvre etait unique, et c'etait bien, beau comme la naivete, puis j'ai vue et deteste tout Hollywood par snobisme, n'ecoutait que du free jazz, du rock progressif, rien que je croyait formate, je voyait les film independant tcheque... snobisme, je connaissait les ficelle expliquee dans les livres pour scenaristes (presentation du contexte, des personnage, premier probleme, introduction du 3eme perso, moment a la 45eme minute ou tout va mal... introduction d'un indice... bla bla bla,...) tout ca analyse en salle pour des test screen, puis remontee, nivellement par le bas... systeme des studio... (John Fante) decouverte que l'on joue avec tes emotions de maniere scientifique... 

AAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRGh again

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12 janvier 2007

Pourquoi des qu'une idee, un concept...

...de texte d'installations, de photo, de peinture nes dans mon cervaux hyper productif en echanges neuronale, j'adore les carnet... le dictaphone... capter un 10eme de ce qui passe, mais des que ce concept ou oeuvre est vraiment bien definit, pres a etre realise... il disparait... satisfait d'avoir existe... il n'ont aucun interet a etre concretise... le plaisir viens de la conception, meme tres definit, bien storyboarde, un graphe ou quoi... je n'ai pas le plaisirs de l'artisant de faire, je n'ai fait... tirage, expo, etc que force par une commande, ou alors quand j'avais le temps, le temps de l'amateur... avec cette innocence et cet transe de l'inutile, du vrai plaisir... J'avais jusqu'a l'idee de publier "Un recueil d'idees a realiser" et aussi "Un breviaire de titres et de paroles a utiliser..." 

Donc voila ni passionne, ni artisans patient, reveur, peut etre est ce la meme arme de la societe que ceux qui ne chante pas mais reve de devenir star, vivre ca vie par procuration, remplacer la dignite des individue par une pates molle une vie parallele, sans effort, mais occupant le cerveaux et volant au telespectateur son propre desir de faire et d'etre par le fait de d'integrer ce personnage virtuel qui a reuusit, entertainment, otant le desir de' devenir  creant en fait un etre frustre, comtemplant cette realite (Hype, show biz...) comme un autre univers, inaccesible, les dieux de l'olympe... ils s'accepte mortels se repaisant de histoires, mythes, des grands, des domines, acceptant la dominations... avec toujours l'idol le reve de'autre, presque pareille, le heros rivalisant avec les dieux et finalement se faisant une place a leurs cote... un espoir, se dire qu'il peuvent, que c'est a portee, que si vraiment il voulait il pourrait, comme moi avec mes projets, j'ai plein de choses que je pourrait faire... et cette idee me suffit... Il ya la dessus deux maniere de realiser, peut etre se realiser...: le professionalisme... qui tue le plaisir, c'est a dire devenir technicien, detenteur d'un savoir faire... etre submerge par la machine dans laquelle on est retre avec des idees... alors survivre a ca se donner le temps, la patience, la vue carriere, reussir dans le systeme, jusqu'a avoir son oportunitee... cela est continuer son Travail d'amateur... mettre une distance entre le travail qui ressemble  a ce que l'on voulait faire... mais en pettit en fait c'est exactement ce que l'on ne voulait pas... la question est: faire de l'alimentaire dans son domaine (avec et le sentiment de se prostituer et le sentiment de vivre quand meme de sa passion...) l'humilite et l'artisanat est ce que j'ai decouvert vieillisant, apres avoir fait deux trois expo concept des un pettit milieu ferme auto proclamant l'independance, un esprit de -isme, de quartier, d'auto congratulation, mais motivant, se confrontant tu es oblige de cree de reagir moteur, aimant, dialectique, jeux d'esprit europeen tellement banal en fait..., ne rien faire la est le defi, comme faire personne, se retrouver sans interlocteur, avec personne en face, personne  qui a les meme reference... ni croyance, ni rien, alors, ne pas faire si c'est pour les convertie precher dans une chapelle remplit n'a pas de valeur, juste le plaisir de l'ego de donner a manger au cochons les satisfaires... non au mini milieu, plutot rien, mais faut bien bouffer, alors on prends la comission du prince, en me disant que, et alors je ne suis pas le messie, non un personage de drame grecque... mais au moins j'ai essayer d'autre choses, je n'ai pas suffisement de foi en quoi que ce soit d'autre que moi, alors j'accepte le systeme, le capitalisme, systeme qui fonccionne, autonome comme une IA de SF je mange de cette soupe mais j'ai viste plein de tables avant de choisir celle la ma soupe je me l'a suis faite dans un systeme qui m'a permis de le faire, une semi anarchie, melange a un fond de socialisme et supportant un capitalisme (ou liberalism - europe continentale sense) Le costa Rica... choisir un pays...  pouvoir le faire, grace a son passeport, Costa Rica, la suissa de centro america, pas d'armee, (abolit en 1947 or something par Pepe) securite social pour tout le monde... un espece de reve de liberte, justement, plus riche que tout les autres pays de CA car trouve le bon filon l'eco tourisme, pas de guerilleros marxiste, even un president de la republique Prix nobel de la paix (pour ces mediation avec les guerilla dans les annes 80), mais pourquoi si libre et fier... parce que il a vendu une partit de son ame au USA... mais de la viens le pouvoir de la diplomacie... la voie du centre... mais pourquoi ont-il put negocier un gouvernement socialiste, sans avoir les foudre de washington, comme le guatemala en 54, avec les bombardement d'aviations, bombes et flyer de desinformation... pourtant toute l'histoire c'est construite autour de la banana fruit company, etat dans l'etat (proprietaire de tous les terrain et supplier de la cote caraibe, constructeur de tout le resau ferroviaire, createur de la bourgeoisie local et manipulateur, ils sont partitont laisse la pauvrete des esclaves-employes regrettant le joux venant avec les colones, seuls face a l'adversite... au choix, a la prise en main de soi... ils n'y a plus de rythme, plus de futur traces facile, il n'y a que l'eglise.... ils n'ont pas se desir de se faire, cette dignite de se dire que je vaux autant que les autres que je peux... car la religion premiere arme de conquete des conquistador: vous etes des infideles, agenouiller vous et demande pardon... le plaisir n'est pas pour maintenant, plus tard viens la reconaissance.... <puis vinrent les protestant et cette education, cette croyance en le fait que je dois et peux me realiser dans cette vie... le protestantisme creant le capitalisme... offrant le reve de la realisation dans cette vie la, en plus d'une autre apres, donc un esprit de maitre sur ceux qui n'ont meme pas envie, qui passe, deshumanise, mais heureux... une reponse... donc fonccionnant en sur place, main d'oeuvre parfaite pour ceux qui doutant veulent se prouver meilleurs, juste des animaux ce pavanant, cherchant le pouvoir sur les autres male pour pouvoir avoir des partenaire et se reproduire... devenir eternel... par une lignee genetique par une guerre vaincu, par quoi que ce soit... laisser un trace c'est ca vraiment la classe (dixit massilia...) c'est ca le piege... vouloir arriver c'est ne pas voir le chemin... Malgres tout il y a ceux innocent qui le deviennent (le fateur cheval, le douanier rousseau... l'amateurisme comme verite, autenticite) et ceux qui utilise le savoir, la sciences, qui ont compris que si l'ont n'a pas la spontaneite ont peux travailler et reussir a force de volonte... (le milliardaire je ne sais plus comment: trouver l'algorythme derriere les flux  boursiers, ou bien les delits d'inities, les brokers, l'economie est devenue une sciences, qui s'apprend entre riche dans les universites ...  comme l'art, les techniciens, appliquant les techniques ne font pas rever... pourtant Picasso aurait-t-il put liberer son oeil et offrir le cubisme, sans une parfaite technique classique... on veut de la chance... l'egalite face au loto...


AAAAAAAAAAAAArrrrrrrrrghhhhhhhhh.... I'm so here, it's painful...

28 novembre 2006

Gecko bacle... mais un debut d'idee...

Un gros gecko,
Avec un appétit
Digne d’un croco
Se faisait petit

Il attendait en vain
De combler sa faim
Toujours pourtant
Son diner  est present

Un peu gourmant
Cherchant trop a l’avant
Il  s’eteint amer
Trop pres de la lumiere

28 novembre 2006

Une grenouille... pleine comme...

Une grenouille
Pleine comme une couille
Revait de se vider
Deverser son interieurite

Ne trouvant
De partenaire cooperant
Il ne lui restait
Que  de fantasmer
Elle meme se toucher
Se masturber
Fabriquer son propre plaisir ;
Modeler son desir
En idee jouissante…
Mais malgres que ca la tente
qu'ca la titille
Notament l'envie de tige
N’encontrant que des fantasmes
Qui bousculent sa morale
Derangee par son mal   
Neanmoins lui viennent les spasmes
Le divin abandont
La sensation du rien
La respiration du tout

Puis vint
En pendant
un vent

Le calme plat
Tout en bas

28 novembre 2006

Cher declic, Tres cher déclic, Trop cher declic…

Peut etre plus tard je corrigerais l'orthographe et la grammaire... peut etre pas...
Mais je cherie plus le fais que le polie...

   Jean baptiste cohen se réveil… ou plutot essaie de s’accrocher a cette nouvelle réalité, passer le pas, enclencher l’interrupteur, provoquer le déclic …
Comme toujours, il a du mal, il n’est pas encore celui qu’il sera tout a l’heure, celui qui aurai voulu se lever tôt, être actif… avoir le gout de faire… mais non il ne reflechit pas encore de cette maniere, selon cette non logique,  il est scotche dans la douceur d’une autre realite… entierement absorbe dans le sentiment de plenitude du repos de l’esprit et du corps. Entièrement beat… détache de toute responsabilité concrète… libre dans l’absence… la grenouille dans l’apesanteur liquide…

Mais voilà que me tombe dessus l’autre realite, : celle partage par les autres…(d’un comun accord entre nous)  avec mon role a jouer, puis viens d’un coup mes necessitees et but , mon personnage s’invite et s’impose, et me voilà avec mes doutes et desirs, me voilà avec mes obligation et devoirs… Je vais assumer et faire ce que je me suis impose… mais avec plaisir.. a la recherche de ma carotte, celle que j’ai moi même posée… 

Alors je suis fébrile, d’esprit et de corps, en fait non je sais qu’aujourd’hui je ne pourrais pas assurer mon role social… j’ai tout donne hier, je suis vide… j’ai ete conscient, trop peut etre, et j’ai essayer de l’expliquer de le partager, la dope a fait son effet, socialbilite, liberatrice… m’a fait m’epencher, me poser ses questions en utilisant l’autre… me poser face au miroirs, la meditation, non, la confrontation pour crystalliser ce que je ne peut pas faire seul… La dope comme outil de reflexion… merde un jour je pourrai mediter, ou tout simplement analyser les faits seul, comprendre pour demontrer sans moyens… etre suffisement fort pour regarder la palle du ventilateur, seule,  en arretant le mouvement…
Immobiliser le mouvement et voir…
   Mais voilà aujourd’hui je suis dans ces landemain down… peut etre plus lucide que high…  trop… je ne  pourrai pas sortir et ne culpabiliserais pas… car aujourd’hui je suis trop lucide, je vois les animaux humain, je vois mon corps comme un habit inchangeable, comme une vrai dependance a cette chaire, la grenouille hors de l’eau… mais trop febrile pour affronter, hier j’ai gagne, ce matin, je ne veux meme pas me battre, l’expliquer, le dissequer… je le suis point… je ne fais qu’assumer, et fuir… un livre… un film…. De l’entertainment… faire courir le temps… car il n’ai pas affrontable… trop present… gluant… un marais existantiel…
    Il n’y a pas de high sans down… tout est verite, instantane et inatrapable, car nouveau exotique, le declic, le changement d’etat,, la dope est la, tout est la dans l’interupteur enclencheur, dans le danger et la perdition de ce nouveau monde , destabilse, en etat d’insecurite, danc vrai sans repere… mais voilà cela ne dure pas… et je cours apres ce high premier… mais il n’ai plus attrapable… mais par contre je me creuse mon fosse de down…

   Hier, malgres tout me reviennent des images… mais plates, videes de la seve qu’elle avaient, sans la verite que je voyais… un jugement realiste, trop, qui ne   peut comprendre, mais seulement voir de cette autre realite, beacoup plus froide, plus concrete, d’autre incapable de saisir le sens… mais voit la forme… je me juge durement… je ne vois que ce personnage, distant, si different,, souvent ridicule dans sa verite pure, je vois l’animale, le reptilien, mais je le regarde et le remet dans le contexte sociale… la realite partage… juge par les yeux de la societe…

Mais voilà je vis a Tamagringo, Nowhere, Now here, dans un pueblo de personnages,  la ou les gens on choisit de vivre… la ou les locaux ne son plus… ou les backgroud son pesados… comme beaucoup il y a ici des chanceux malheureux, maleureux du doute… ici une reponse ou une acceptation de ne plus chercher… L’interzone… ou tout dois etre possible, la ou il n’y a des barrières que la ou se les posent… un endroit de désirs, la ou l’on peut les réaliser, donc ou on les laisse de cotes, les oublies, ne plus les laisser vous dominer, car il sont réalisable donc plus aussi désirable, et aussi être vacciner de voir ses gens de passage… si avides de prendre ce qu’il sont venu se payer et devoir en être heureux… rentabiliser ce bonheur et le faire fructifier pendant les 50 semaines de cubicle, essayer de se fabrique le même moment de rêve acheter sur catalogue et déjà consommer avant de le vivre,, ils arrivent et se doivent de présenter des photos illustrant le voyage déjà paye… les cliches obliges, la preuve de l’exploit accomplit ou plus souvent du contrat remplit…. se fabriquer des souvenirs, qui seront forcément plus beau (et durera plus longtemps) que le moment…

Une Tamarindo Night, une nuit partout et nulle part, une expérience cent fois renouvelée de liberté, d’annulation d’obligation… une ZAT mentale une zone d’autonomie temporaire de  l‘esprit, un état d’esprit  qui n’est que passager, qui ne peut que l’être pour pas que se noie la grenouille…  mais en espérant qu’une empreinte restera dans le batracien… une utilité pour justifier…

Mais voilà rattrape par la réalité, celle du jour… cet autre monde… plus contraignant… L’heure ou les mort-vivant laisse la place au seulement vivant… heureux les seulement vivants, surtout dans leur contrainte crée pour pouvoir les dépasse… triste les mort-vivant vivant avec toute la force donner par la conscience de leur mort… Tristes mais fier … mais sur la berge il faut chasser son déjeuner, se dorer au soleil, sécher pour pouvoir aprecier le prochain (et nécessaire) passage a l’eau… la prochaine, attendu, immersion… déclic…
Cher declic
Tres cher déclic
Trop cher declic…
Comme la psychanalyse le prix doit etre la …  il matérialise, concrétise, ancre dans la réalité (la partage, subjectivité de masse), lui donne une valeur, la rend meritable, rechercher et appréciee….

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30 août 2006

L'absurde...

...comme moyen de survie...

...comme defense face a la normalite...

"vous lécoutez cette musique..." non... dites que je suis fou... dites le...

non... personne est fou... malheureusement... seulement seul... cette musique ne se partage jamais... ou si peut... seulement ne pas se categoriser fou... seulement s'accepter seul... face au mirroir le matin... seul Brel et  Godard... 

et nous...

30 août 2006

lúltime poesie...

...me frappe encore ce soir... apres tant de temps...
Pierrot le fou...

la fusion unique et existente car pensee, controlee, mais pourtant crachee ala figure du monde...

la poesie ultime... non arretable, comme la musique... sous pause tout est mort... dans le mouvement tout existe, tout est coherent, tellement, seulement humain... poetique union du tout... la verite... le defi de la mort... le bonheur face a la realite... etre vrai et mort ou vivant avec un but..

"ha le petit con il roule sur une ligne droite et il est pres a la suivre jusqu'au bout... " a droite a gauche...

"c'etait le premier cétait le seul reve"

ce

13 mai 2006

Dans le laps...

dujuste vivement dans le laps de temps du changement d'etat...

28 avril 2006

Aeroport...

Il était 6h05 du matin j'allais prendre l'avion pour rentrer chez moi... au Costa Rica:

   Après une longue hésitation les derniers euros passent dans un croissant bière... J'ai le coeur au bord des yeux... je ne sais pas vraiment pourquoi, mais ce matin encore sombre me pèse un peu, un peu a la manière d'une salle de cinéma qui s'éclaire doucement, sur un film non encore compris, a peine vu... le travail se fera... plus tard...

Petite table ronde de café (nomme "l'envol"), Le Monde et Libe, pull en alpaga (peut être bio et /ou équitable) ramene d'un voyage (forcement initiatique) en Inde, je griffonne (en noir) sur mon Moleskine... carte d'embarquement en poche... San Jose via Caracas (ahh... Brel), regard minutieux et détaché... le BoNo en transit (Bourgeois Nomade, merci Valerie...)... si cliche...

16 h Caracas
Nous avons couru au devant du soleil depuis ce matin, il a finit par nous rattraper... 30° aveuglant sur le tarmac... un plaisir cuisant après une semaine et demi de froide grisaille... retour au clairs obscures violents...

10 février 2006

ptit blues

P'tit blues de depart, tombée de générique sur un voyage court et déja flou. Des images gravées sous et sur exposées.

Des bonheurs et deceptions
Abandons et sueurs

7 février 2006

Dur retour

Dur retour

Laisser des trous... ...d'air derriere soi...

des trous noirs... ... des espoirs

Doux amours

5 février 2006

Dur ...

durs... les enchainements de relations...

I think I need a resurection...

10 décembre 2005

Paresse...

...et langueur de temps...

20 octobre 2005

Sous l'eau... et sans Ricard...

Soulot et batard...

2005_10_15_023

Neanmoins... le Guanacaste et toujours sous les queues d'ouragans...

20 octobre 2005

Nous nous reservons le droit d'acces ...

... a la nourriture...

Rue de San Jose...

2005_10_18_031

17 octobre 2005

Jour Feriée hoy...

... donc les filles du bordel d a  cote (je suis a l hotel, San Jose...) ne sont que 4... un flaquita (maigrelette), 2 peinturées a l'exces, vraiment poufiasse putasse, et une si quelquonque qu elle disparait ou attire irremediablement...

En plus ce soir ... feriée... elle ferment a 17 heures... au lieu de 19... Asi es la vida ... feriada...

10 octobre 2005

Toujours sous les queues de cyclone...

... et on s'en fout... ce sont les autres qui meurent... de toutes facons... (et pauvres qui plus est...) donc d'autant plus "autres"... sachant que je vis bien dans ma case... qu'une autre, dont les parents meurent, nettoie assidument... tous les jours pendant que je cherit mon petit Nikon bijoux de technologie orientale... (vous attendiez occidentale...)...

Bref... Il meurent et moi je bois du rhum... (ou de la biere... et un peu de C...)... y a t-il une morale ici... qui la cherche... qui la veut... qui la justifira? 

1 octobre 2005

Coke y ...

... discussion... une nuit encore longue et courte... rapide et lente... down trop lourd... sommeil irreel...
il pleut dans une chaleur etouffante... ma tete s'ouvre petit a petit de nouveaux... sous l accion de la biere...
hier trop doux et atrocement dur...

promis plus jamais...

29 août 2005

Dur dur...

Apres trois jours d abstinence... trois jours de socialite ivresque... et de fotos... perso et taf...

J ai la sensation febrile...

22 août 2005

Cyber Leo's - San Juan del Sur - Nicaragua...

Un echapatoire aux habituels sejours a Granada... vacances obligatoires de renouvelement de visa, tout les trois mois...
Cet fois ci... un peu moins loin... sur la cote aussi...
on change sans rien changer...

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TohX is still Alive (Don't you care)
  • ...Battements d'un expat apatride... Photos et mots pour preuve que ca pulse encore un peu par la dedans... le probleme c'est l'irregularite de ces battements ... C'est aussi de temps en Temps : "Journal d'un alcoolisme bancal-banal"
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